Le choix
On a toujours le choix,
c'est une évidence.
On n'a pas tous les choix
mais on a toujours le choix.
Devant toute épreuve, on a l'option d'en mourir
ou d'y survivre et devant l'échec,
le choix de s'aimer ou de se détruire.
Devant les imprévus, on possède la liberté
de rire ou de pleurer et dans l'adversité,
le choix de pardonner ou de culpabiliser.
Au milieu de la confusion, on a toujours
la faculté de voir et de croire,
l'alternative de se fermer et d'oublier.
Au coeur de la détresse,
on détient un évantail de paroles et de silences,
le loisir de parler ou de se taire.
Devant une décision,
on a le pouvoir d'agir ou de rester immobile,
et par-dessus tout,
le choix de rester ou de partir.
Stéphanie Houle.
Un grand-père posait un bonbon sur la table devant son petit-fils, et disait :
- vas-y, choisis !
Le gamin, avec un sourire en coin, lui répond :
- mais papy, je ne peux pas choisir : il n'y a qu'un bonbon...
Ce à quoi le grand-père rétorque :
- Si tu as le choix : tu le prends , ou tu ne le prends pas !
(Merci à Auguste)
c'est une évidence.
On n'a pas tous les choix
mais on a toujours le choix.
Devant toute épreuve, on a l'option d'en mourir
ou d'y survivre et devant l'échec,
le choix de s'aimer ou de se détruire.
Devant les imprévus, on possède la liberté
de rire ou de pleurer et dans l'adversité,
le choix de pardonner ou de culpabiliser.
Au milieu de la confusion, on a toujours
la faculté de voir et de croire,
l'alternative de se fermer et d'oublier.
Au coeur de la détresse,
on détient un évantail de paroles et de silences,
le loisir de parler ou de se taire.
Devant une décision,
on a le pouvoir d'agir ou de rester immobile,
et par-dessus tout,
le choix de rester ou de partir.
Stéphanie Houle.
Un grand-père posait un bonbon sur la table devant son petit-fils, et disait :
- vas-y, choisis !
Le gamin, avec un sourire en coin, lui répond :
- mais papy, je ne peux pas choisir : il n'y a qu'un bonbon...
Ce à quoi le grand-père rétorque :
- Si tu as le choix : tu le prends , ou tu ne le prends pas !
(Merci à Auguste)
Retour aux articles de la catégorie Les textes que j'aime -